On va commencer par L’assiette Japon, restaurant que l’on m’avait vanté comme gastronomique et dans lequel j’espérais trouver des desserts typiquement japonais et une nourriture un peu plus traditionnelle.
28 rue Peyrolières
31000 Toulouses
05 61 21 50 91
Le bémol, mais nous étions avertis dès le début, c’est qu’il faut y mettre le prix, avec un menu découverte à 34,50€ comprenant entrée, plat, dessert et thé.
La salle est extrêmement calme (jusqu’à ce qu’on y introduise une dizaine de jeunes affamés), on notera la musique d’ambiance rappelant de façon troublante la musique de mes podcasts de relaxation et des toilettes, aux dires de quelqu’un qu’on ne nommera pas mais qui se reconnaîtra, “très zen”.
Comme nous l’espérions, L’Assiette Japon est un restaurant japonais qui joue dans la catégorie supérieure. La nourriture est copieuse et recherchée, nous avons goûté des sushis de poisson inconnu (et encore non identifié à ce jour. Si vous le reconnaissez, merci de contacter notre standard !).
Le hic avec les plats, c’est que seuls les gyozas accompagnés de poulet frit n’ajoutaient aucun supplément au menu. Pas de découverte culinaire totale, donc, je connaissais déjà ce type de plat.
Mais la plus grosse déception est venue au dessert… Où non seulement il n’y avait pas la moindre pâtisserie japonaise, mais en plus, si les glaces avaient des parfums japonisants, nous avons une fois de plus fait face à une pénurie de haricots rouges (je suis maudite du haricot, ma parole !).
C’est là qu’est intervenu le péril vert… La glace au wasabi, parvenant à cacher avec la complicité du sucre et de la crème un goût vous prenant au nez d’une façon assez violente.
Post Blogum : suite au référendum sur le précédent billet (et surtout à mes sautes d’humeur), il y aura bien changement de blog à terme… Mais compte tenu de mon emploi du temps, ce ne sera pas pour tout de suite !
Personnellement j’ai été déçue par le plat principal, rien de vraiment excitant. Les sushis étaient vraiment excellents mais la première entrée était un peu anecdotique. Quant au dessert… ma glace au sésame noir était très bonne, mais je VEUX du haricot rouge, bordel !!!
Sinon Gaétane m’avait dit à l’époque que les pâtisseries japonaises étaient très rares voire presque indigestes… il me semble effectivement avoir mangé un jour un truc extrêmement gluant fourré à la pâte de haricot rouge et Julien a pris une fois une crème brûlée au thé vert (qu’il n’a pas du tout aimé par ailleurs). A Melbourne, il n’y avait que des glaces dans les restos japonais (les restos asiatiques étant un peu plus “authentiques” en Australie qu’en Europe)
Bref si je retourne dans ce resto, je prendrais juste sushi-dessert ^^’
Moi j’ai bien aimé ce resto. J’ai cru que je n’allais jamais m’arrêter de manger tellement c’était bon (miam miam sushi, miam miam gyoza). Sans mauvaise conscience en plus, parce que la cuisine jap, c’est diététique (mais si mais si).
Tu as oublié de préciser que la serveuse était absolument délicieuse (miam miam serveuse… “naaaan, Lodi, ne mange pas la serveuse !”).
Pis on a bien rigolé.
Ohhhhhhh, pas de photo des chiottes zen ?
Tu aurais pu faire un article hommage à G&G et son “guide des chiottes” (je kiffe ce blog, j’espère que tu connais).
Le poisson inconnu ? De l’anguille grillée ?!
Ça a changé parce que la première fois, j’ai été épatée mais j’en suis restée un peu sur ma faim.
Il y avait :
– 1 minuscule salade dont l’assaisonement m’a plu.
– 4 sushis
– 2 plats (st-jacque et poulet frit) et son riz gohan
Pour 26 euros (et pas de thé ni dessert à l’époque).
Du coup, j’ai envie de retester.
Penser que « manger japonais » est diététique… Bien ça dépend, il y a beaucoup de friture. Ils mélangent les protéines (comme poulet & oeuf, porc et oeuf etc…). Bref, à faire exploser le cholestérol.
Quand je lis sur le site “En outre jamais grasse…”, ça me fait doucement rire. Et les tempuras ? Et les beignets de poulet ?
QUEHA ? La cuisine japonaise serait grasse comme les autres cuisines ?
Un mythe de blog de fiiiilles s’effondre…
avec toute la compassion d’une autre maudite des haricots rouges…
Si tu veux, je fais (genre des mes propres petites mains nà moi) des mochi au matcha fourré aux haricots rouges.
Même qu’il parait qu’ils sont bons… (C’est des critiques culinaires très difficiles, si si, la famille…)
🙂
Après être allée dans un délice de restaurant nipo-coréen aujourd’hui à Lyon avec les plus belles toilettes du monde (oui Lodi, j’ai pensé à Girls and Geek, c’était tellement beau que j’avais envie de faire des photos et de les lui envoyer !), je suis définitivement déçue par l’Assiette Japon où je ne retournerais que pour manger des sushis, la seule chose qui m’ait vraiment épatée !
Et si on va un jour à Lyon (connaissant la passion d’Idole Absolue pour la colline de Fourvière, ceci est une possibilité), je t’y emmènerais et tu m’en diras des nouvelles !
(bon OK il n’y a pas de glace au haricot rouge mais de la glace thé vert faite maison !)