Je n’aime pas spécialement quand les journalistes spécialisés se croient obligés de trouver des paternités à un groupe tout neuf, ou de comparer tel chanteur récemment découvert à un de ses illustres prédecesseurs. A moins que les influences ne soient évidentes.
Cela dit, il m’est difficile de résister à la tentation au moment d’évoquer Graham Wright, jeune claviériste du groupe canadien Tokyo Police Club, qui partage avec Graham Coxon (bassiste de Blur à la carrière solo parallèle très développée) son prénom et la même paire de lunettes. Le rapprochement est d’autant plus facile une fois que l’on sait que le garçon a sorti de son côté un album solo.
Graham s’y éloigne du style très rock indé de Tokyo Police Club pour des titres un peu plus folk. C’est tout doux (spécialement Birds of a feather en écoute sur son Myspace), ça s’écoute pelotonné dans un plaid sur son canapé.
Dites à bientôt à Graham, vous avez de grandes chances de le retrouver dans ma playlist de saison !
en tout cas, je suis bien contente d’avoir retrouvé un rythme de “croisière” des post sur ce blog, té! Vivement le retour des bouclées!